Photo : Marie Dove
La musique comme un tout.
De son format enregistré et ses pochettes multicolores aux lives et leurs mouvements. L’un ne va pas sans l’autre.
C’est du moins l’image que j’en ai. Celle d’une énergie folle qui se dégage tant sur la scène que dans le public.
C’est cette essence que j’aime capturer derrière mon objectif.
De son format enregistré et ses pochettes multicolores aux lives et leurs mouvements. L’un ne va pas sans l’autre.
C’est du moins l’image que j’en ai. Celle d’une énergie folle qui se dégage tant sur la scène que dans le public.
C’est cette essence que j’aime capturer derrière mon objectif.
C’est grâce à l’architecture que je prends mes premières photos, mais c’est le mouvement que je préfère.
Allier ma passion première pour la musique et la photographie devient alors une nécessité. Je me mets à photographier des concerts, à commencer par Prodigy, pris dans les faisceaux de lumières aussi obsédants que les riffs que j’écoute alors.
Pour mieux en retranscrire la lumière, je prends d’assaut les premiers rangs, développe un oeil. Pour gagner en technique, j’intègre une association photos.
Allier ma passion première pour la musique et la photographie devient alors une nécessité. Je me mets à photographier des concerts, à commencer par Prodigy, pris dans les faisceaux de lumières aussi obsédants que les riffs que j’écoute alors.
Pour mieux en retranscrire la lumière, je prends d’assaut les premiers rangs, développe un oeil. Pour gagner en technique, j’intègre une association photos.
De la folie des foules, aux rencontres, j’aime à faire partie de l’instant et à en être son témoin. Dans cette poussée j’intègre mon premier média : Sensation Rock. Et la fièvre du rock me conduit à shooter Mumford and Sons au Zénith de Paris en mai 2019, puis le Festival Beauregard et Machine Gun Kelly la même année. Pour ce média, je couvre des lives jusqu’en Angleterre.
Là, en avant-scène lorsque les lumières s’éteignent et que la tension monte, j’ai un seul let motiv « Trois titres pour tout donner ». Je capture les couleurs, l’excitation, l’exaltation, les émotions et la sueur. A l’affut des bons dans la foule, des slams et du geste qui caractérisera le musicien. Sans oublier pour autant de profiter des bulles de bières et de l’effervescence qui se dégage de l’instant.
Là, en avant-scène lorsque les lumières s’éteignent et que la tension monte, j’ai un seul let motiv « Trois titres pour tout donner ». Je capture les couleurs, l’excitation, l’exaltation, les émotions et la sueur. A l’affut des bons dans la foule, des slams et du geste qui caractérisera le musicien. Sans oublier pour autant de profiter des bulles de bières et de l’effervescence qui se dégage de l’instant.
En passant par les sous-sols de boites nuits jusqu’aux plus grandes arenas d’Angleterre, je photographie des artistes qui font vibrer les foules : Catfish and the Bottlemen, Kaiser Chiefs, Yungblud, ou encore The Libertines…
De retour en France, j’intègre un nouveau média : Popnshot. Il me conduit au Printemps de Bourges et à écumer toutes les salles de la capitale. Je shoot Woodkid, le Chorus des Hauts de Seine, The Hives, le MaMA Festival, We Hate You Please Die, Oete, Foams, Hervé, Essone en Seine, le festival Elektric Park et bien d’autres. J’en profite même pour faire des shootings en interviews.
En un battement de batterie, je deviens parallèlement l’un des photographes du Popup du Label à Paris.
De retour en France, j’intègre un nouveau média : Popnshot. Il me conduit au Printemps de Bourges et à écumer toutes les salles de la capitale. Je shoot Woodkid, le Chorus des Hauts de Seine, The Hives, le MaMA Festival, We Hate You Please Die, Oete, Foams, Hervé, Essone en Seine, le festival Elektric Park et bien d’autres. J’en profite même pour faire des shootings en interviews.
En un battement de batterie, je deviens parallèlement l’un des photographes du Popup du Label à Paris.
À l’affût de nouvelles expériences, je n’ai de cesse d’agrandir mon portofolio. Alors n’hésite pas à me contacter pour nous collaborions.
Merci !